Alfred Homann a été invité à concevoir un réverbère pour les routes et les parcs de faibles superficies. Il devait tenir compte de quatre facteurs. Concevoir un reverbère : 1. possédant de nombreuses applications 2. à un prix de revient déterminé 3. facile à nettoyer 4. et de maintenance facile. L’exigence d’un vaste champ d’applications dès le départ indiquait que le luminaire devait posséder une expression classique et minimaliste, qui le rendait approprié pour une répétition à l’infini. Le réverbère Kipp se compose de trois parties principales, le corps, le cône en polycarbonate et le diffuseur opale. Lorsque la source lumineuse doit être remplacée, il suffit de dévisser une seule vis, puis d’incliner la partie supérieure : aucune pièce n’a besoin d’être démontée. Alfred Homann déclare que « l’idée générale était de concevoir un luminaire sur mât basé sur la logique et la minimisation ».